eds 4t l0613 mer

« On voit par là que les cérémonies du tabernacle, comme celles du temple qui le remplaça, inculquaient jour après jour aux enfants d’Israël les grandes vérités se rattachant a la mort et au ministère de Jésus-Christ. Une fois l'an, tous les esprits se portaient sur le dénouement du grand conflit entre le fils de Dieu et Lucifer: la purification totale et définitive de l’univers par la disparition éternelle du péché et des pécheurs. » Ellen G. White, Patriarches et prophètes, chap. 30, p. 331.

Lisez Lv 16.29-31 ; 23.27-32. Qu’attendait Dieu des Israélites le jour du Yom Kippour? Comment allons-nous appliquer ces principes aujourd’hui, à l’époque du « jour antitype des expiations » ?

Quiconque, dans l’ancien Israël, ne suivait pas ces instructions était retranché et supprimé (Lv 23.29, 30). Le jour des expiations était véritablement une question de vie ou de mort, rien de moins. Il exigeait de la part du fidèle une loyauté totale envers Dieu.
Imaginez quelqu’un qui, après avoir confessé ses péchés durant la première phase de l'expiation, c’est-à-dire au cours de l’année lors des sacrifices quotidiens, n’aurait pas pris au sérieux le jour des expiations. En manquant de respect envers ce que Dieu souhaitait démontrer ce jour-là, cette personne aurait fait preuve d’un manque de loyauté envers lui.

Cela signifie qu’une personne qui professe sa foi en Dieu peut néanmoins perdre le salut. Les adventistes ne croient pas qu’une fois sauvé, on est sauvé pour toujours, parce que la Bible ne l’enseigne pas. Nous sommes à l’abri en Christ tant que nous vivons par la foi et que nous nous abandonnons à lui, en proclamant sa puissance en vue de la victoire lorsque sommes tentés et son pardon lorsque nous tombons.

Lisez Mt 18.23 -35. Quelle leçon tirer de cette remarquable parabole?