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Il y a évaluation qu’on en ait conscience ou non. Il y a évaluation chaque sabbat et à chaque réunion publique. Les gens évaluent le contenu, la clarté ou même la longueur du sermon et ceux qui assistent à des conférences publiques s’attendent à un haut niveau de professionnalisme. Il y évaluation chaque fois que des gens ont des attentes. Même si aucun texte biblique ne nous met en présence d’une évaluation menée de façon officielle, il est clair que cette activité faisait très sérieusement partie de la vie de l’Eglise primitive.

Qu’indiquent les textes suivants sur la nécessité d’évaluer? Quelle sorte d’évaluation les versets suivants suggèrent-ils? 1 Tm 3.1-13; 1 Co 11.28; 2Co 13.5, 6.

Quand la Parole de Dieu propose un idéal, attend de nous ou prescrit des actes précis, ou énonce un commandement, nos réactions sont susceptibles d’être évaluées. Evaluer revient à poser des questions d’une grande importance :« Quels résultats pour ce ministère particulier ». «Comment être plus efficace ? »

Le fait que Paul ait exigé certaines qualifications de la part des diacres et des anciens montre qu’une certaine forme d’évaluation devait exister. Sans doute s’agissait-il d’évaluer l’aptitude à ces postes, ainsi que l’efficacité au sein de ces ministères.

Lisez le grand mandat évangélique de Mt 28.19, 20. Quelles questions poseriez-vous dans le but d’évaluer la réaction de votre Eglise à ce commandement?

Dieu a confié à ses serviteurs la vérité infiniment précieuse de l’Évangile. Si l’on considère que ce message doit être annoncé au monde entier, il n’est pas surprenant que Dieu se livre à une forme d’évaluation. Il s’intéresse au progrès de l’œuvre qu’il a confiée à ceux qui ont répondu à son appel à être co-ouvriers au service des âmes.

Relisez 2 Co 13.5. Quel est l’image de ce texte sur vous personnellement ? Comment l’appliquez-vous à vous-même ? Q’est-ce qui montre que Jésus-Christ est en vous ?